Comment le processus d’apprentissage peut-il ĂȘtre

Comment le processus d’apprentissage peut-il ĂȘtre

Comment le processus d'apprentissage peut-il ĂȘtre

Lorsque nous faisons rĂ©fĂ©rence Ă  l’apprentissage, ou au processus d’apprentissage, nous parlons de tout ce qui implique l’acquisition de connaissances, de compĂ©tences, de capacitĂ©s, de comportements ou de valeurs. Tout cela est basĂ© sur l’Ă©tude, sur l’expĂ©rience acquise dans la vie quotidienne, sur l’instruction, sur l’observation et sur le raisonnement. Pour l’analyse du processus d’apprentissage, il existe plusieurs thĂ©ories.

Les humains ne sont pas les seuls Ă  ĂȘtre capables d’apprendre, les animaux aussi et, aujourd’hui, les machines aussi, grĂące Ă  ce que l’on appelle l’IA (intelligence artificielle).

Nous savons que les changements psychologiques qui se produisent tout au long de la vie sont dans tous les cas le rĂ©sultat d’un conditionnement hĂ©rĂ©ditaire ou gĂ©nĂ©tique et d’influences environnementales. Il n’y a rien qui dĂ©termine spĂ©cifiquement ce qui provient de l’hĂ©rĂ©ditĂ© et ce qui correspond Ă  l’environnement.

Façons d’envisager l’apprentissage

Il existe plusieurs façons d’envisager l’apprentissage. Examinons rapidement trois d’entre eux, sans trop entrer dans les dĂ©tails. Ce sont les propositions de trois autoritĂ©s scientifiques et de rĂ©flexion :

  • Le physiologiste russe Ivan Pavlov, pĂšre de la loi du rĂ©flexe conditionnĂ©Dans le cas de la premiĂšre Ă©tude, l’auteur a montrĂ© qu’en associant un stimulus Ă  signification biologique, par exemple un aliment, Ă  un stimulus neutre, par exemple un son, l’organisme rĂ©agit aux deux, il n’y a pas de diffĂ©rence dans le schĂ©ma de rĂ©action Ă  la prĂ©sence d’un aliment ou Ă  la perception d’un son. La stimulation-rĂ©ponse se trouve dans l’ĂȘtre et l’ĂȘtre des propositions du pĂšre de la loi du rĂ©flexe conditionnel.
  • Le psychologue ukrainien-canadien Albert Bandura, mondialement connu pour son thĂ©orie de l’apprentissage sociala montrĂ© que lorsqu’un ModĂšle est rĂ©compensĂ© pour un certain comportement, l’observateur l’apprend. Votre la thĂ©orie de l’auto-efficacitĂ© a contribuĂ© de maniĂšre significative Ă  la thĂ©orie de l’apprentissage social.
  • Burrhus Frederic Skinner, psychologue amĂ©ricain, spĂ©cialiste du comportement et pĂšre d’un important travail en psychologie expĂ©rimentale, a montrĂ© que l’organisme tend Ă  mieux assimiler les comportements qui s’accompagnent de renforcement ou de gratification. Sa thĂ©orie est connue sous le nom de behaviorisme radical.

Conclusion

Nous n’avons citĂ© que trois façons d’envisager l’apprentissage, mĂȘme si nous savons qu’il y en a d’autres. Le ou les processus Ă  suivre dans l’une de ces voies ne sont pas faciles ; ils demandent surtout des efforts. Les connaissances sont acquises aprĂšs avoir Ă©tĂ© soumises Ă  une programmation dans laquelle des objectifs sont fixĂ©s pour ĂȘtre atteints. La rĂ©alisation est liĂ©e Ă  la rĂ©alisation de ces objectifs.

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